Le lombric se déplace dans un mouvement péristaltique. (...) La contraction des muscles circulaires allonge et amincit le segment, les soies se rétractent...
Le ver de terre se déplace dans un mouvement péristaltique. Cette mobilité particulière désigne l'ensemble des contractions musculaires. En effet, le corps du ver de terre dépourvu de squelette utilise l'alternance de contraction des muscles circulaires et longitudinaux situés sous l'épiderme pour avancer sur le sol ou creuser le sol.
Les deux groupes de muscles modifient la forme de chaque segment.
La contraction des muscles circulaires allonge et amincit le segment. Les soies se rétractent et l'extrémité antérieure du segment se déplace en avant.
Lorsque les muscles longitudinaux d'un segment se contractent, le segment s'épaissit et se raccourcit. Les soies s'accrochent au relief et tirent l'extrémité postérieure du segment.
Ce mouvement est reproduit par les segments suivants. Le lombric avance.
Le lombric creuse des tunnels dans le sol. Il avale la terre et compacte les cotés de la galerie avec son corps. Après son passage les fèces et du mucus recouvrent la paroi.
La contraction des muscles circulaires allonge et amincit le segment. Les soies se rétractent et l'extrémité antérieure du segment se déplace en avant.
Lorsque les muscles longitudinaux d'un segment se contractent, le segment s'épaissit et se raccourcit. Les soies s'accrochent au relief et tirent l'extrémité postérieure du segment.
Ce mouvement est reproduit par les segments suivants. Le lombric avance.
Le lombric creuse des tunnels dans le sol. Il avale la terre et compacte les cotés de la galerie avec son corps. Après son passage les fèces et du mucus recouvrent la paroi.